Crabe vert
Scylla serrata
La Polynésie française abrite plusieurs espèces de crabes, mais l’une des plus recherchées est très probablement le crabe vert.
A Huahine, on le trouve un peu partout dans les mangroves et les endroits peu profonds à fond vaseux. Comme pour la langouste et d’autres crustacés de Polynésie, il existe une règlementation (Rahui) qui encadre leur capture pour permettre un maintien du stock.
A Huahine, on le trouve un peu partout dans les mangroves et les endroits peu profonds à fond vaseux. Comme pour la langouste et d’autres crustacés de Polynésie, il existe une règlementation (Rahui) qui encadre leur capture pour permettre un maintien du stock.
COMMENT CUISINER ?
Les locaux l’apprécient cuits à l’eau avec une mayonnaise (de préférence maison) ou à la chinoise dans une sauce aigre douce avec du gingembre.
Le crabe vert de polynésie s’ébouillante avant de pouvoir consommer directement la chair de ses pinces, ses pattes (pour les plus gros) ainsi qu’une partie de son corps. Cette chair peut également être extraite et utilisée dans une salade ou dans diverses recettes comme les beignets de crabes ou les crab cake par exemple. Les plus petits spécimens font une excellente base pour une soupe de poisson, une bouillabaisse ou un coulis de crustacé. Noter qu’une fois décortiquées les carapaces peuvent toujours être utilisées pour faire une bisque ou un consommé.
Le crabe vert de polynésie s’ébouillante avant de pouvoir consommer directement la chair de ses pinces, ses pattes (pour les plus gros) ainsi qu’une partie de son corps. Cette chair peut également être extraite et utilisée dans une salade ou dans diverses recettes comme les beignets de crabes ou les crab cake par exemple. Les plus petits spécimens font une excellente base pour une soupe de poisson, une bouillabaisse ou un coulis de crustacé. Noter qu’une fois décortiquées les carapaces peuvent toujours être utilisées pour faire une bisque ou un consommé.
